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Timea Bacsinszky se confie dans notre supplément "Spécial Habitat"

Entre deux tournois de tennis, Timea Bacsinszky partage un appartement de 80 m2 avec son ami Andreas,au cœur de Lausanne.Elle y trouve la sérénité parmi les odeurs de lessive et les vieilles gravures de la ville, dont elle étudie chaque détail.

24 oct. 2016, 16:22
/ Màj. le 27 oct. 2016 à 07:00
"Notre sofa est composé de deux parties qutonomes etpliables. Comme ça, chacun fait ce qu'il veut"

Vous voyagez huit mois par an. A ce rythme, vous sentez-vous chez vous ou cette résidence n’est-elle qu’un pied-à-terre?

Je passe peu de temps dans cet appartement, jamais plus de quatre semaines d’affilée, mais c’est chez moi, le lieu où je reviens toujours. C’est très, très important.

Vous gagnez bien votre vie. Pourquoi un appartement et pas une maison?

Avec Andreas, on ne fait pas de grandes folies. On voulait un petit endroit pratique au centre de Lausanne, où l’on peut rejoindre nos amis en quelques minutes. Et j’adore cette ville, je dois l’avouer. J’aime tout ici. C’est trop cool de flâner dans Lausanne. J’observe tout, les travaux, les changements, l’évolution.

D’où les gravures accrochées dans le corridor?

Ces gravures représentent notre quartier en 1856. J’adore… Je passe des heures à étudier chaque détail. J’ai eu l’idée de nous offrir ce cadeau pour Noël. Mon copain et moi, on est passionnés par les vieux clichés de Lausanne. On regarde comment la ville était à l’époque, on scrute, on note, on compare avec des images récentes, on va chercher l’histoire sur l’internet, pourquoi telle rue s’appelle comme ceci, pourquoi telle route est orientée comme cela. Avec les gravures, on voyage dans le temps.

Quel objet vous rappelle-t-il instantanément que vous êtes chez vous?

Pas un objet: une odeur. L’odeur du linge, surtout. «Notre» lessive, celle que nous avons choisie avec Andreas, qui nous correspond, et pas celle de nos parents. J’ai l’odorat sensible; quand je pousse la porte de l’appartement et que je sens le parfum de «ma» lessive, je pense aussitôt «te voilà à la maison!» Vous n’imaginez pas le bonheur, quand je rentre d’un tournoi, de lancer une première lessive: c’est un enchantement.

La suite de l’interview de Timea Bacsinszky est à découvrir dans notre supplément « Spécial Habitat » de ce jeudi 27 octobre.

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