"Nous avons le souci permanent de l'accessibilité des spectacles à un public très large. Mais nous ne cherchons pas à répondre coûte que coûte aux supposées attentes des gens. Nous préférons les inviter à la découverte, les inciter à prendre des chemins de traverse..." Ces quelques mots du directeur du Festival de la Cité Michael Kinzer résument l'ambition de la manifestation phare de l'été lausannois. Oser l'exigence sans tourner le dos au populaire. Un vrai pari que le festival relève depuis 41 éditions.
Dès ce soir et jusqu'à dimanche, le badaud comme l'esthète pourront s'en mettre plein les yeux et les oreilles dans le décor enchanteur de la vieille ville de Lausanne, avec pas moins de 83 propositions artistiques et un total de 215 représentations. Et à nouveau, le festival se distingue par son parti pris en faveur de la création. "Les deux tiers des projets ne seront visibles qu'à...