En 2009, alors que l'industrie musicale commençait à sonder le marasme dans lequel est plongé le monde du disque, alors que la vague de cette "nouvelle chanson française" arrivait en fin de marée, Calogero publiait "L'embellie". Un titre qui conjurait le sort et offrait à l'un des plus fins mélodistes de la scène pop française un énorme succès. Depuis, le Grenoblois s'était presque fait discret, composant pour Florent Pagny, montant un projet de potes musiciens baptisé "Circus"... Peut-être pour se ressourcer en retrait des feux de la rampe, retrouver l'explosivité du rock et l'émerveillement de la pop qui l'ont bercé depuis toujours. Interview à l'occasion de la sortie de son dernier album, "Les feux d'artifice".
Vous avez laissé passer cinq ans entre "L'embellie" et l'énorme succès qu'il a rencontré et "Les feux d'artifice". Pourquoi ce laps de temps?
J'ai fait beaucoup de choses durant ces cinq ans, une tournée acoustique,...