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Les fous préfèrent le couteau à l'en tonnoir

Membre du jury, le cinéaste français Alexandre Courtès a aussi présenté au festival NIFFF "The Incident", un premier film qui fait rimer psychiatrique avec cinématographique.

11 juil. 2012, 00:01
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Graphiste de formation, Alexandre Courtès s'est fait un nom grâce à ses clips vidéo pour Noir Désir, U2 ou encore White Stripes. En 2011, il passe au cinéma avec un premier long-métrage anxiogène. La même année, invité à participer au film collectif "Les infidèles", il en réalise le meilleur sketch: "Les infidèles anonymes". A l'interview, Courtès confirme qu'il n'est pas du genre à se laisser enfermer dans un genre.

Racontez-nous la genèse de "The Incident"? Comment vous êtes-vous retrouvé à l'asile?

J'ai toujours eu le désir de faire du cinéma. Cela s'est passé de la façon la plus simple. Après avoir vu mes clips, un producteur m'a approché. De cette rencontre est née l'envie de faire un film de genre, d'horreur. J'ai lu beaucoup de scénarios avant de tomber sur le bon. C'était un scénario original qui sortait des sentiers battus, surtout par rapport aux autres projets que l'on me...

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