Alors oui, durant la première vague, on sentait dans la population un élan collectif, l’espérance au terme du confinement de voir un nouveau jour se lever et l’humanité se relever plus belle, saine, solidaire, écologiste… Et puis la deuxième vague a fait largement refluer cette positivité et cette perspective de lendemains qui chantent. On aurait pu craindre de voir l’aigreur, l’individualisme et la désespérance triompher tant la fatigue se fait sentir dans à peu près toutes les couches de la population. Et pourtant, de belles choses continuent de se produire. De...
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Les caisses sont Covid, mais on donne quand même: on vous raconte le monde du bon côté

Jean-François Albelda, responsable Culture du "Nouvelliste".
Sabine Papilloud