En neuf longs métrages, Lucas Belvaux a développé une oeuvre originale, animée d'un souci du réel qui manque à la plupart de ses contemporains. Révélé en 2003 grâce à une trilogie dont les trois titres sont à lire d'une traite ("Un couple épatant", "Cavale", "Après la vie"), le réalisateur de "Pas son genre" nous rappelle que nous n'en avons pas fini avec la société de classes, aujourd'hui plus que jamais! Propos d'un cinéaste lucide.
"Pas son genre" est tiré d'un roman de Philippe Villain.
Qu'est-ce qui vous a donné l'envie d'en faire l'adaptation?
A cause de ses deux protagonistes ...