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L'espion qui gaffait

Série américaine de la fin des années 60, «Max la Menace» aligne les boulettes sur grand écran aussi.

12 sept. 2008, 14:48

Je vous parle d’un temps que les moins de 20 ans... Dans ces années-là, quand les enfants sages avaient été sages, vraiment très sages, ils avaient le droit de regarder «Max la Menace» à la télé. Il n’était pas très futé, cet espion, mais qu’est-ce qu’il était drôle.

Maxwell Smart travaille comme analyste dans une agence d’espionnage. Ce n’est pas ce dont il rêve, évidemment. Lui se verrait plutôt agent secret. L’occasion de réaliser ce fantasme se présente lorsque le quartier général de l’organisation est attaqué et l’identité de la plupart de ses espions dévoilée. Ses patrons n’ont d’autre choix que d’accorder une promotion à Max. Celui-ci a beau être plein de bonnes intentions, il est quand même terriblement maladroit. Pour mettre en échec le consortium criminel KAOS, on lui adjoint donc l’agent 99. Qui est non seulement efficace mais ravissante. Max, son enthousiasme, sa partenaire et ses gadgets délirants...

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