Dans «Tour d’horizon», nous l’accompagnions dans son observation des aurores boréales depuis un bateau qui traversait les fjords. La poétesse faisait des rencontres humaines attachantes, et se confrontait avec humour au bruit incessant de ses pensées dans le silence vertigineux du Grand Nord.
Résolument décidée à voir la nature et à l’accepter dans toutes ses dimensions, y compris les plus petites et dangereuses pour l’homme, elle nous invitait aussi avec un docteur à observer l’infiniment petit dans l’être humain.
Laissant en suspens la question de la...