Les Nippons ne sont jamais en retard d'une innovation géniale... parfois inutile. Dans l'art du Chindogu, on se souviendra bien entendu des mini-parapluies qui se portent sur les chaussures pour ne pas avoir les pieds mouillés ou du chapeau rouleau de papier toilette, pour ne jamais en manquer, du stick à beurre pour ne jamais être en rade au petit-déj ou encore de la cravate porte-feuille, très pratique en voyage d'affaires.
Dans la lignée, l'invention du soutien-gorge qui se dégrafe uniquement lorsque sa porteuse est amoureuse, se montre quant à lui tout aussi géniale et pourrait même s'avérer utile!
Finis les coups d'un soir (ou d'un jour, c'est selon!)
Seule l'amoureuse véritable laissera désormais dégrafer son soutif par son amant (ou amante). Muni d'un capteur de rythme cardiaque, le soutien-gorge ne libérera la poitrine de son carcan qu'avec l'accélération du pouls – et par conséquent de la mesure des sentiments de la femme qui le porte.
Si le sous-vêtement ne libère le trésor qu'il renferme qu'avec des émotions réelles, la petite culotte qui lui est assortie ne résiste, elle, à aucune tentative d'enlèvement.
En outre, le soustingue nippon ne renseigne en revanche pas sur les réels sentiments du ou de la partenaire.