Il a découragé plus d'un journaliste par son laconisme et ses manières tranchantes de Texan bon teint. Mais après les six minutes d'applaudissements réservés à "The Homesman" (voir notre édition de lundi), Tommy Lee Jones était d'humeur conciliante à Cannes. Rencontre.
Qu'est-ce qui vous a attiré dans le livre de Glendon Swarthout qui a inspiré le film?
Au vu de son originalité, j'étais convaincu qu'on pouvait en tirer un film comme on n'en avait pas encore vu. Ce livre évoque la difficulté à imposer un modèle agricole européen inapproprié sur sol américain. Il parle surtout de la marginalisat...