Trois ans après le triomphal «Caravane», Raphaël sort «Je sais que la terre est plate», un nouvel album studio, porteur de tubes potentiels.
Tandis que «Le vent de l'hiver» squatte déjà les ondes de France et de Navarre, d'autres titres ne devraient pas passer inaperçus, comme «Adieu Haïti», en duo avec le chanteur jamaïcain Frederik «Toots» Hibbert.
De passage en Suisse romande, Raphaël parle de son nouveau disque, dont il a signé la plupart des textes et des musiques, s'entourant aussi de valeurs sûres comme Stephan Eicher ou Gérard Manset.
Pour votre quatrième album studio, vous aviez un concept au départ ou vous vous êtes laissé porter par l'inspiration?Je me suis laissé aller, en sachant que si je faisais des chansons trop proches du précédent album, je les mettais à la poubelle. Et il y en a eu beaucoup, ma poubelle est pleine.
Les chansons que vous écrivez racontent...