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A l'est, du nouveau

«L'affaire Farewell» revient sur une importante histoire d'espionnage peu connue du grand public. Ou quand la Guerre froide renaît dans un film réaliste signé Christian Carion.

23 sept. 2009, 05:02

A l'époque, l'affaire a moins défrayé la chronique que celle du Rainbow Warrior, pourtant, «L'affaire Farewell» a marqué un tournant dans l'histoire. Au début des années 80, un colonel russe qui transmettait des informations ultra confidentielles aux Occidentaux a largement contribué à faire évoluer le destin de son pays. Cette affaire a inspiré le cinéaste Christian Carion, qui réunit à l'écran Guillaume Canet et Emir Kustrurica pour raconter cette histoire.

Le colonel du KGB, Sergueï Grigoriev, déçu par la politique de son pays, veut faire chuter le système: il donne des informations confidentielles à un ingénieur français installé à Moscou, Pierre Froment, qui les fait passer à l'Ouest. Les documents sont si explosifs que François Mitterrand, nouveau président de la République française, en avertit Ronald Reagan. Les dossiers révèlent qu'un gigantesque réseau d'espionnage informe l'Union soviétique sur les activités scientifiques, industrielles et militaires du monde occidental...

Reconstitution

«L'affaire Farewell», baptisée...

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