courrier des lecteurs

Un test pour voyager

24 mai 2021

Dans l’article «Un test pour voyager?» dans la TdG du 11 mai, Philippe Nantermod (PLR) est cité: «Si des personnes ne veulent pas se faire vacciner, c’est leur choix, mais elles doivent en assumer les conséquences. Je ne suis pas d’accord de payer des impôts ou des primes d’assurance maladie plus élevés pour elles.» Oh, combien je comprends M. Nantermod!

Moi non plus, je n’ai pas envie de payer les milliards dépensés pour les tests PCR qui ne peuvent pas détecter des infections. D’après Kary Mullis, l’inventeur de cette technique, il ne devait pas être utilisé pour diagnostiquer des maladies. Le PCR ne peut pas distinguer entre fragments viraux vivants potentiellement infectieux, et fragments morts provenant d’une maladie surmontée, d’une personne guérie. Il produit un grand nombre de faux positifs. Pour les autres raisons, voir le «Corman-Drosten Review report», étude approfondie du PCR par un groupe de chercheurs indépendants.

Et oui, je n’ai pas non plus envie de payer les milliards dépensés pour l’expérimentation médicale de phase 3 des laboratoires pharmaceutiques qu’on appelle vaccination. Je ne connais aucune personne de mon entourage qui est consciente qu’en acceptant ou désirant cette injection, elle participe à un essai clinique. Je dois constater l’absence quasi totale du «consentement libre et éclairé», ce qui est illégal depuis le Code de Nuremberg et la Convention d’Oviedo.

Que faire? Citoyenne consciente de ses devoirs dans notre démocratie, je vais bien me résoudre à payer mes impôts, même si je ne suis pas toujours d’accord avec la façon dont mon argent est dépensé. Je précise que je ne suis pas complotiste. J’utilise ma formation scientifique (pharmacienne), pour étudier des publications de recherche et pour réfléchir. 

par Dishon Eva, 1213 Petit Lancy