courrier des lecteurs

immigration et climat

17 sept. 2020

a croissance par habitant en Suisse a stagné depuis le concept de libre circulation. Le cœur du problème est que nos «experts» n’ont cessé de mélanger croissance générale et croissance par habitant. Et l’immigration est nocive si on considère la croissance par habitant. 

Depuis 2007, la raréfaction et le renchérissement du sol, la surcharge des infrastructures, les atteintes aux ressources naturelles, la baisse du taux d’autosuffisance nuisent à la majorité de la population. Le produit intérieur brut considéré comme le Graal dissimule ces nombreux effets négatifs! Réduction de CO2 par habitant et croissance démographique massive (1 million de résidents depuis 2007) obligeront le Conseil fédéral à imposer des objectifs coûteux aux citoyens. Et cette pression migratoire ne faiblit pas. Entre janvier et mars 2020, elle était de 34,7% supérieure à celle des mêmes mois 2019, et plus forte qu’entre 2016 et 2018 (OFM).

Avant 2007 et actuellement, la Suisse peut s’appuyer, pour le recrutement de sa main-d’œuvre en Union européenne (UE), sur l’accord de libre-échange de 1972, garantissant aux entreprises suisses l’accès au marché UE, et l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) protège la Suisse contre d’éventuelles mesures discriminatoires de l’UE (par exemple. l’accord de libre-échange conclu avec la Chine), donc il n’y a aucune nécessité de reprendre du droit étranger ou d’accorder la libre circulation des personnes…!

Le chantage éhonté aux insignifiantes bilatérales, armes de destruction de notre souveraineté, démontre à satiété la veulerie des ennemis de la population Suisse. 

par zufferey macia, martigny