courrier des lecteurs

Présidence de Sion: le PDC a montré son dynamisme

18 nov. 2008

Les élections du Conseil général de Sion n'ayant guère été favorables au PDC, la perte de la majorité absolue de ce parti a été vite montée en épingle, bien que cette formation politique reste largement la plus forte. Sans forfanterie, mais simplement pour replacer dans le contexte, rappelons qu'aux élections du Conseil communal du 12 octobre, le PDC a obtenu 8 sièges sur 15, soit la majorité absolue. Nous savons tous que la position de leader du PDC entraîne immanquablement des attaques, des jalousies de la part des formations minoritaires. Il est de bonne guerre que celles-ci tentent, par différents moyens, d'aguicher les citoyens. Résonnent alors les termes "idées, projets, changements" comme si, dans le futur, le salut de tout un chacun résidait autant dans le mépris des réalisations passées que dans la fuite en avant. Ces dernières années, le PDC a montré clairement son dynamisme tout en privilégiant l'action réfléchie à l'agitation. Il a su profiter de sa force politique pour mener à bien de grands projets visant des améliorations notoires dans le quotidien des citoyennes et citoyens. Grâce à l'engagement de ses politiciens, notre ville peut être fière de sa beauté, du confort de vie qu'elle propose et de l'optimisme qui s'en dégage. Parmi nos élus, Grégoire Dayer, un homme travailleur, visionnaire, respectueux des personnes et de leur environnement se présente à la présidence de notre Municipalité. Il a participé grandement à la bonne marche de la commune en rendant toujours disponibles son expérience, ses compétences et son enthousiasme. Il est homme de parole et de confiance, sûr de lui sans arrogance et ouvert au vrai débat démocratique. Avant d'être l'élu d'un parti, il sera le représentant de toute notre communauté. Avec Grégoire Dayer à la présidence, la ville de Sion peut envisager l'avenir avec sérénité car tout sera pensé avec cœur et intelligence, dans le respect des valeurs et convictions de chacune et chacun.
par Paul-André Oggier, Sion