Bouh! Les vilains conservateurs valaisans...

Ça y est: ils sortent du bois ou plutôt du fond de leurs vallées! Tout aussi primitifs que leurs ancêtres qui tapaient sur leurs femmes et leurs enfants, ils osent critiquer le très noble et très estimable IUKB «institution académique spécialisée, de tout premier plan, qui régate au niveau européen» (interview du directeur de l'IUKB dans «Le Nouvelliste» du 2 mai 2013). Ils sont bien méprisables ces esprits rustres et grossiers qui osent troubler les cogitations très élevées de la fine fleur intellectuelle et de l'élite scientifique et universitaire internationale qui ne peuvent être que LGBT (Lesbian-Gay-Bisexual-Transsexual). Ces attardés «aux capacités cognitives très limitées» (dixit le directeur de l'IUKB) risqueraient de nous bloquer au stade du Moyen Âge, alors que l'élite LGBT nous offre la possibilité de plonger directement dans la société antique, société bénie des dieux, où il faisait si bon vivre, où l'homosexualité était la référence des esprits supérieurs et raffinés et où la satisfaction de ses pulsions avec un éphèbe à la chair tendre était le plaisir bien légitime du sage vieillard. Le Moyen Âge contre l'Université, les affreux multiphobes hétérosexistes contre les gentils LGBT persécutés, il n'y a pas à hésiter: haro sur les premiers, par contre toute la considération, le soutien officiel et surtout le financement massif de la part de nos institutions valaisannes (Département de l'éducation, de la culture et du sport du Valais; Société académique du Valais; HES-SO ; HEP du Valais; etc.) aux seconds.