Raimondo, 1 mètre 90, large comme une armoire à glace, tatoué de partout, ancien directeur d’une entreprise dans le secteur de la construction, s’effondre en larmes. Gagnant 12 000 francs par mois, il s’est acheté une villa, deux voitures de luxe, un voilier… Puis, presque du jour au lendemain, sa société a fait faillite et il a perdu son revenu. «Endetté jusqu’au cou, je ne vois pas la lumière au bout du tunnel», sanglote-t-il.
«Le surendettement (réd: un endettement excessif, qui pl...