La porte de son bureau est toujours ouverte. Le président de Vétroz, Olivier Cottagnoud, écoute tous ceux qui souhaitent lui parler. Il se dévoue aussi, comme quand il a passé une demi-journée au guichet des travaux publics pour remplacer des personnes malades. L’élu de l’Alternative vétrozaine (AV) essaie de tout gérer, même les petits détails que lui rapportent des citoyens. «Je sais dire non quand c’est impossible, mais je prends note, je m’informe et je réponds rapidement aux demandes. C’est comme ça que les gens se sentent écoutés.»
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Son style direct est sans filtre. Il agace parfois, mais ses adversaires les plus farouches lui reconnaissent son travail. «Avant mon élection, des personnes quittaient un établissement public quand j’y entrais. Maintenant, certains me disent: «Bonjour, Monsieur le président.»
La surprise du chef
L’accession de l’homme de gauche au sommet d’une commune...