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Une bière et un tatouage, s’il vous plaît

Un salon de tatouage est installé depuis le début de l’année au sein d’un établissement public. Les clients s’y font tatouer sous le regard des fêtards.

03 mars 2016, 00:02
Le club 579 , une discothèque de Haute-Nendaz collabore avec un studio de tatouage: le studio 22. Les clients de la discothèque peuvent découvrir le tatoueur à l'oeuvre en commandant un verre.

Ici Freddy Anzevui, gérant du club 579 se fais tatouer.



Louis Dasselborne/Le Nouvelliste

Que serait une ambiance rock sans le son caractéristique des aiguilles du tatoueur sur la peau? Fabrice Anzévui, gérant du club 579, a voulu donner à son établissement une touche solidement rock’n’roll. Depuis le début de l’année, il a installé un salon de tatouage au sein même de son établissement. Une idée qui ne tombe pas du ciel et qui s’inspire du modèle américain. «C’est quelque chose qui se fait beaucoup aux Etats-Unis. On tatoue dans les bars 24/24, explique-t-il. Cela fait partie du show au même titre que la musique.»

«Les clients doivent être sobres»

Derrière les aiguilles, le tatoueur Nakee Wan qui s’adapte à son nouvel environnement de travail. «J’ai appris le tatouage en Thaïlande en compagnie de moines. C’est un grand écart en termes de contexte», ironise-t-il. Pour le tatoueur pas question de marquer des personnes ivres. Le salon en boîte de nuit,...

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