C’est un directeur encore époustouflé par la virtuosité des artistes présents toute la semaine à Evolène qui a clos hier la 16e édition du Festival classique des Haudères. «Nous avons vécu d’immenses moments de bonheur musicaux, lâche François Grin. Le concert des Bâlois du trio Orion en début de semaine était juste extraordinaire. Ils jouaient tout par cœur et l’absence de pupitre a permis une véritable communion avec l’ensemble du public.» Sous les peintures du peintre de Ribaupierre, une soixantaine de musiciens se sont relayés au cours de neuf concerts de grande qualité. «Le cadre du festival rend l’atmosphère vraiment particulière, souligne encore le directeur artistique. Au sein de la chapelle des Haudères, l’acoustique est très belle ce qui renforce la qualité sonore des performances.»
Plus de 1000 personnes sont venues assister à l’un ou l’autre concert d’une affiche que le directeur espère riche et équilibrée. «J’essaie de trouver la...