Le révisionniste sierrois René-Louis Berclaz, qui avait soutenu l’an dernier dans un article sur internet que les chambres à gaz nazies étaient un «point fort controversé de l’histoire de la Deuxième Guerre mondiale», a été condamné à 140 jours-amende, comme le demandait le Ministère public. A une différence près: le Tribunal de Sierre n’a pas accordé le sursis au Valaisan.
A lire aussi : Un révisionniste valaisan jugé pour discrimination raciale à Sierre
Visiblement, le juge Stéphane Epiney n’a guère goûté au fait que l’accusé n’avait pas retiré ses propos de la toile. Le condamné, qui échappe par contre à une amende de 1000 francs demandée par le parquet, peut fait appel de ce jugement devant le Tribunal cantonal.