Quelques minutes avant l’arrivée des participants, Béatrice Maye, responsable du SprachenBar pour le Valais, installe de petits drapeaux sur les tables. Aux couleurs de l’Italie, de l’Allemagne et même de la Russie. Ils serviront de repères pour la soirée de ce lundi de janvier.
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«L’objectif est de dérouiller une langue qu’on ne pratique plus avec des inconnus, dans une ambiance conviviale et décontractée», sourit la Valaisanne, première Romande à avoir importé ce concept lancé en 2011 outre-Sarine par Verena Schoch.
Apprendre des autres
Sous la lumière tamisée du bistrot Les Brasseurs à Sion, ils sont plus d’une cinquantaine à avoir répondu présents à l’événement. La soirée commence tranquillement. Puis rapidement l’ambiance s’anime. Et s’accompagne d’un joyeux brouhaha.
A la table germanique, on se présente et on explique les raisons de sa participation. A celle du patois valaisan, l’heure est au défi de...