Scénario inédit à Veysonnaz. La chaise laissée vacante par un conseiller communal démissionnaire n’a toujours pas trouvé preneur. Le délai prévu par la loi pour la nomination d’un remplaçant aujourd’hui dépassé, une élection complémentaire devrait avoir lieu d’ici la fin de l’année. Symptomatique, le cas de Veysonnaz vient rappeler la complexité des petites et moyennes communes à repourvoir leur exécutif. Explications.
Pas de viennent-ensuite, pas de candidat
Mi-septembre, la démission de Loïc Viret, conseiller PDC, est avalisée par le Département de la sécurité, des institutions et du sport. Comme seules les vacances intervenant dans les six derniers mois d’une législature n’ont pas à être repourvues, la commune est dans l’obligation de compléter son exécutif. Sauf qu’aucun viennent-ensuite n’existe dans une commune où les autorités ont été élues tacitement il y a trois ans.
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Il revient donc aux parrains de la...