En septembre dernier, le Grand Conseil chargeait sa Commission de l’énergie de déterminer si l’Etat du Valais pouvait bloquer la construction de la ligne à très haute tension Chamoson-Chippis. La députation basait son projet sur la médiatisatoin d’un rapport du géologue cantonal, montrant que 34 pylônes sur 52 analysés étaient situés en zone de danger.
Un avis de droit sans appel plus tard, les politiciens ont dû se résoudre à l’absence de compétence cantonale.
Le Parlement a également refusé le contre-projet de la commission, demandant que «le Conseil d’Etat assure la collecte des prises de position des organes cantonaux et leur transmission l’autorité compétente.» UDC et AdG exceptés, les élus ont relevé que la pratique avait déjà court aujourd’hui, et qu’il s’agissait d’une mesure inutile.