Tout est parti d’une volonté de plus de 130 bourgeois d’Arbaz. L’année dernière, ils déposaient une initiative en vue de séparer les autorités bourgeoisiales des autorités communales pour étudier l’idée d’une fusion de leur commune. Douze mois plus tard, la municipalité a demandé aux citoyens souhaitant s’impliquer dans l’avenir d’Arbaz de former plusieurs commissions et un comité de pilotage. «Ça doit être une démarche non politique», souligne Vincent Rebstein, président de commune, qui ne participera pas aux ateliers. Une quarantaine de citoyens a répondu à l’appel. Ils étaient vingt cette semaine, vacances obligent.
Fusionner n’est pas tabou
Dans l’assistance, Paule Devanthey est «venue par curiosité et pour apprendre à connaître le village». Quant à Sihem Carroz, elle a été «tentée par l’idée que la population participe activement au développement d’Arbaz».
Si le terme fusion n’est pas encore à l’ordre du jour de ces premiers mois de travail, «il...