Dans le lit de la Losentse, des pelles mécaniques déplacent des pierres embouées. Pendant que des paires d’yeux scrutent la rivière, à la recherche des indices qui permettront de retrouver les deux victimes de la lave torrentielle.
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A Chamoson, deux jours après la catastrophe naturelle, le cours d’eau a pu être suffisamment sécurisé pour accueillir les équipes de recherche. Composées de cinq guides-sauveteurs, de sept chiens, de membres de la protection civile et de quatre pelles mécaniques, celles-ci s’activent prioritairement dans un périmètre d’un hectare.
Un secteur privilégié
«Nous nous concentrons naturellement où la probabilité de retrouver la voiture disparue est la plus grande», commente depuis la berge du torrent, Didier Maillard, le chef de l’état-major des Coteaux du soleil. En l’occurrence: dans la partie basse de la rivière, en aval du stand de tir. C’est là que le véhicule inoccupé,...