" Nous avons été bottés en touche, constate Daniel Morard, bouillonnant président de la Société des pêcheurs de Sion et environs. Notre argumentation selon laquelle une préalable homologation du Conseil d'Etat est indispensable pour exclure une société de droit public n'a pas été prise en considération par le Tribunal cantonal."
Pour s'adonner à leur passion, les Sédunois n'ont désormais plus d'autre choix que de passer à la caisse en s'acquittant d'une taxe de non-membre auprès de l'Etat plus coûteuse qu'une cotisation FCVPA ou d'adhérer à une autre section que Sion. "Des surcoûts dérisoires qui nous obligent toutefois à soutenir, contre notre gré, un système contraire à nos principes", poursuit-il.
La convention, source de polémique
Retour à la case départ pour la section sédunoise puisque les tribunaux ne se sont pas prononcés sur le noeud de la discorde: une vision divergente de la pêche. Si la FCVPA applique à la lettre...