Le GHB, dit drogue du violeur, provoque aussi bien une forte euphorie, ou alors une somnolence, parfois de l’inconscience et des nausées. Une Valaisanne racontait en 2014 au «Nouvelliste»: «En quittant une discothèque à Martigny, je rigolais sans arrêt, je dansais, je n’étais plus moi-même.» Protégée par ses amis, la jeune femme ne fera heureusement pas de mauvaise rencontre.
Notre conseil: en soirée, ne jamais laisser son verre sans surveillance et faire de même avec les boissons de ses amis. Et si l’un d’entre vous se fait piéger, second conseil: «Il est recommandé, en cas de suspicion d’intoxication, de se rendre rapidement à l’hôpital et de faire au plus vite des prélèvements urinaires et sanguins. Le GHB est détectable pendant douze heures au plus», avertit Nicolas Donzé, toxicologue forensique à l’Hôpital du Valais.