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Dans la lunette de: Raymond Georges, fidèle au poste depuis 42 ans

Il le reconnaît lui-même: il faut être un peu follo pour rester à l’affût d’un cerf durant de longues heures. Pourtant, Raymond Georges ne raterait ces deux semaines de chasse pour rien au monde.

26 sept. 2018, 17:01
Georges Raymond pose dans son petit coin de paradis.

Une série de trois portraits de chasseurs à découvrir jusqu'à jeudi

Alors que le mode de vie végane fait de plus en plus d’adeptes, nombreux sont les femmes et les hommes à mettre leur vie sur pause pour partir chasser. «Le Nouvelliste» a collé aux basques de trois d’entre eux et vous propose de découvrir leur portrait dès maintenant.

Au premier plan, le lac d’Arbey se prélasse au soleil. Derrière, la Dent Blanche veille majestueusement sur la vallée. La nature est immobile, silencieuse. On devine à peine Raymond Georges, assis sur l’une des rives. Le chasseur profite aussi des rayons du soleil. Il a l’habitude de rester immobile. Chaque année, il traque les cerfs dans son petit coin de paradis. Mais hors de question d’aller plus loin que le banc et de nous montrer son repaire. Il n’a pas encore fait mouche et il ne veut pas prendre le risque...

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