L’année commence plutôt bien pour le personnel de la base aérienne de Sion. Plusieurs signes encourageants laissent en effet penser qu’une activité pourrait être maintenue dans la capitale malgré l’annonce du départ de l’armée.
Il y a tout d’abord cette déclaration sur une chaîne de télé suisse alémanique de Thomas Hurter, conseiller national UDC. Selon lui, si la Suisse veut assurer la surveillance du ciel 24/24, il ne sera pas possible de se passer de Sion. «Il faut revenir en arrière sur cette décision et utiliser Sion comme base de dégagement plutôt que de sous-traiter ce service à un pays étranger», a expliqué le Schaffhousois. Cette prise de position ne doit rien au hasard puisque le conseiller national, qui est président de la commission fédérale de la politique de sécurité, a été invité à Sion en fin d’année passée par le Comité de pilotage de l’aéroport (Copil). «Nous lui...