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Agression à Bramois: encore des zones d'ombre

L'enquête sur l'agression de trois personnes et le décès mystérieux d'un quatrième homme retrouvé dans la rivière dimanche à Bramois se poursuit. Le ministère public ne donne pas davantage d'informations. Depuis mardi, l'accès à l'ermitage de Longeborgne est à nouveau ouvert au public.

27 déc. 2016, 15:43
Le dispositif policier est resté en place lundi toute la journée avant d'être levé.

L'agression qui a fait trois blessés et un mort dimanche à Bramois n'est pas encore élucidée. La médecine légale n'a pas encore rendu ses conclusions et les interrogatoires ne sont pas terminés.

La victime la plus grièvement touchée, un homme d'une trentaine d'années, apparenté à celui retrouvé sans vie dans le lit de la Borgne, est toujours hospitalisée. Ses jours ne sont pas en danger, indique mardi la police.

Les deux autres blessés, une femme et un homme d'une septantaine d'années, ont pu quitter l'hôpital. L'identification de la victime retrouvée morte n'a pas encore été formellement effectuée. Ses proches ne sont pas en Suisse pour l'heure, précise la police.

Déroulement à préciser

Le ministère public poursuit son enquête pour reconstituer le déroulement des faits. Il ne sait pas encore avec précision ce qui s'est passé. Les interrogatoires ne sont pas finis et les médecins légistes n'ont pas encore rendu leurs conclusions, précise le procureur général Nicolas Dubuis.

Une reconstitution n'est pas exclue. Tous les protagonistes sont connus. Il n'y a personne de potentiellement dangereux dans la nature. Le ministère public ne donne pas davantage d'informations jusqu'au terme de l'enquête.

Dimanche vers 9 heures, une femme d'une septantaine d'années blessée à l'arme blanche s'est présentée aux urgences de l'hôpital de Sion. Sur ses indications, la police s'est rendue sur les lieux de l'agression, le chemin qui mène à l'ermitage de Longeborgne à Bramois.

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