Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés 17

Un chantier sous haute sécurité

Entre mi-février et fin avril, à 2000 mètres d’altitude, des guides surveillent en permanence le chantier Nant de Drance. Reportage.

15 mars 2016, 23:46 / Màj. le 16 mars 2016 à 00:01
Emosson, le 10.03.2016. Sur les traces du Service Avalanche du chantier Nant de Drance. Reportage avec Samuel LUGON-MOULIN et Marc VOLORIO. Le chantier du collecteur ouest est menace par les avalanches car il est surmonte par des pentes a plus de 40 degres regulierement accumulees lors de fortes chutes de neige. Marc VOLORIO, Guide et responsable du Service avalanche du chantier et Samuel LUGON-MOULIN, Guide de montagne discutent des conditions dans les pentes qui surplombent le chantier.

(le Nouvelliste/Christian HOFMANN) La securite du Nant de Drance

Un décor de carte postale, des murs de neige d’une hauteur oscillant entre 3 et 8 mètres, des températures polaires au petit matin mais qui se réchauffent avec le soleil, des pelles mécaniques et autres engins qui s’activent au bord du lac d’Emosson, d’impressionnantes fraiseuses qui déneigent la couronne du barrage. C’est dans cette ambiance peu commune que nous sommes allés à la rencontre des guides de montagne qui assurent la sécurité des ouvriers du chantier Nant de Drance, à 2000 mètres d’altitude, entre les barrages d’Emosson et du Vieux-Emosson.

Depuis l’hiver 2009-2010

Depuis sept hivers, Nant de Drance fait appel à ces guides souligne Gillian Rey, le responsable des travaux extérieurs: «Nous n’avons que deux mois et demi, entre début mars et mi-mai, lorsque le niveau du lac est au plus bas, pour effectuer les travaux dans le secteur d’Emosson. Nous sommes donc contraints, chaque hiver, d’ouvrir les routes...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias