En novembre 2017, à l’âge de 44 ans, Vincent Monnet, bûcheron et garde forestier de Martigny, entamait un nouveau chapitre de sa vie professionnelle en s’envolant pour le Gabon. Recruté par l’entreprise suisse Precious Wood, il savait qu’il aurait à gérer une forêt tropicale de 600 000 hectares, soit la superficie du Valais, et à diriger plus de 200 ouvriers, mais rien de plus.
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Aujourd’hui, près de trois ans après, de retour pour quelques semaines en Valais, il évoque sa vie gabonaise qu’il se réjouit d’ores et déjà de retrouver dès la mi-septembre: «J’aime bien revenir voir mes amis et ma famille à Martigny et à Isérables, mais je vais retourner avec plaisir au Gabon pour poursuivre une expérience fantastique qui me plaît beaucoup.»
Un engagement intense
Son travail sur place n’a...