«Louane (8 ans) commençait à me questionner sur comment on créait un film. Je lui ai alors proposé de se muer en figurante.» Noémie et sa fille ont fait partie des quelque 200 anonymes présents, samedi, à l’occasion du tournage du film «Tambour battant». La production de cette comédie familiale romande a investi le cœur de Saillon jusqu’au 15 juillet.
Yolande, de Saxon, vit aussi sa première expérience. «On savait qu’il faudrait beaucoup attendre», rigole celle qui s’en accommode à merveille. Retraité, Daniel n’a pas hésité à venir de Neuchâtel, lui qui apprécie «de découvrir l’envers du décor». «On tutoie très vite les autres figurants», avoue Noémie, un peu dans le jus lorsqu’on lui demande de songer au produit fini. «Les scènes n’étant pas tournées dans l’ordre, le mystère demeure entier», sourit-elle.
Coup de coeur
Cette fiction Point Prod, coproduite par la RTS, est inspirée «d’une histoire qui aurait pu...