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Haut et Bas-Valais, en couple mais c’est compliqué. Psychanalyse en trois points à la Foire du Valais

Pour son deuxième rendez-vous thématique, «Le Nouvelliste» a fait le point lundi après-midi sur ce dont ont besoin le Haut et le Bas-Valais pour ne former plus qu’un.

01 oct. 2019, 12:34 / Màj. le 01 oct. 2019 à 17:00
Olivier Foro, Philippe Bender, Sandra Schneider et Jean-Pierre Bringhen sur le stand du «Nouvelliste» à la Foire du Valais.

«Le Haut et le Bas, c’est comme un homme et femme qui dorment ensemble mais qui font rarement l’amour», lance, sourire en coin, l’historien Philippe Bender lors de la rencontre à la Foire du Valais du «Nouvelliste». Selon les quatre chroniqueurs de notre thématique «Rapprocher», pour s’unir au-delà du territoire, la relation doit donc être consommée, dynamisée et remise au goût du jour. Mais comment? Petite psychanalyse en trois points.

1. Penser la génération bilingue de demain

On dit souvent qu’il faut oser s’approcher pour s’enrichir. Or aujourd’hui en Valais, il n’existe qu’une seule formation où l’immersion chez son voisin du même canton est obligatoire. C’est celle des futurs enseignants de la HEP qui suivent des cours académiques en allemand pour des stages.

Mais cela est-il suffisant? Ne serait-il pas temps aujourd’hui de faire naître la génération bilingue de demain? Oui, répond Jean-Pierre Bringen, entrepreneur haut-valaisan. «Penser l’apprentissage de la...

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