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Fusion Bagnes-Vollèges: l’argent et l’identité au cœur du débat

Attractivité, perte d’identité, coûts ou renforcement du poids politique, à deux semaines de la fusion Bagnes-Vollèges, «Le Nouvelliste» a organisé un face-à-face entre les partisans et les opposants au projet.

29 janv. 2019, 06:41
A gauche, Bruno Moulin et Paul Choffat s'opposent à la fusion. A droite, les présidents des deux communes, Eloi Rossier et Christophe Maret soutiennent que la fusion est capitale pour le futur de la région.

Le 10 février prochain, les citoyens de Bagnes et de Vollèges diront s’ils désirent s’unir pour former la nouvelle entité Val de Bagnes. Forte de 10 000 habitants, elle serait démographiquement la 7e plus grosse commune du Valais. La démarche s’inscrit dans un large processus de fusions en Valais, puisque d’ici à 2024, 60 000 citoyens seront concernés par ces rapprochements. En avril, les autorités des deux communes ont lancé la campagne en faveur de ce rapprochement. Fin novembre, les premiers opposants se sont manifestés à Vollèges. A Bagnes, très peu s’expriment publiquement en défaveur de la fusion et la question ne suscite pas grand débat.

A deux semaines de la votation, «Le Nouvelliste» a réuni autour de la table les présidents des deux communes, Eloi Rossier pour Bagnes (PDC), Christophe Maret pour Vollèges (PLR) ainsi que deux opposants, Bruno Moulin, député PDC au Grand Conseil et Paul Choffat, citoyen...

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