«Pour nous, c’est énorme», «Nous sommes tous dans la même galère», «Ce sera difficile de relancer la machine», «Une année catastrophique», «Avant, on naviguait avec le pilote automatique, maintenant on a de la peine à naviguer à vue…», «On peut encore sauver les meubles mais il n’en faut pas plus», «Si on ne reste pas positif, tout est foutu»…
Ces constats, souvent teintés de fatalisme, émanent de commerçants et exposants d’ici et d’ailleurs, touchés de plein fouet par les annulations des grandes foires d’automne, à l’exemple de la Foire du Valais à Martigny (220 000 visiteurs en dix jours) et de la Fête de la châtaigne à Fully (40 000 visiteurs en deux jours), en raison de la pandémie.
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Pour la plupart, la perte qui en découle pèsera lourd dans le bilan. Cela sans tenir compte des dommages...