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«Aucun regret, ma décision était mûrement réfléchie...»

Après huit années de présidence, Marc-Henri Favre passe la main avec la satisfaction du devoir bien accompli.

22 déc. 2016, 23:32 / Màj. le 23 déc. 2016 à 00:01
Martigny, le 21 janvier 2016



Marc-Henri Favre, président de la ville de Martigny.



Sacha Bittel/Le Nouvelliste

Le 31 décembre, Marc-Henri Favre remettra les clés de Martigny à Anne-Laure Couchepin Vouilloz, première femme appelée à présider aux destinées d’une ville du Valais romand. A seulement 48 ans, il s’en ira avec «la satisfaction du devoir accompli» et riche d’un bilan largement positif. Intronisé au sortir d’une guerre intestine qui avait failli faire imploser le PLR majoritaire, Marc-Henri Favre a rapidement su ramener calme et sérénité au sein de la maison octodurienne, trouvant vite ses aises dans un costume que d’aucuns avaient eu le tort de croire trop grand pour lui en décembre 2008. Consensuel, collégial et à l’écoute de tous ses concitoyens, il aura réussi en huit ans de règne à faire pratiquement l’unanimité. Interview.

Il y a onze mois, vous annonciez ne pas vouloir briguer de nouveau mandat présidentiel. Pas de regrets aujourd’hui?

Il ne faut jamais avoir de regrets et regarder devant. Ma décision était...

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