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Le Valais, un terrain de jeu idéal pour l'apnée: quatre bonnes raisons de vous jeter à l'eau

Le Martignerain Joakim Gorret ouvre une école d'apnée pour faire partager à un maximum de Valaisans sa passion pour un sport en plein développement. Et que chacun peut pratiquer dans plusieurs plans d'eau du canton.

29 juin 2017, 15:42
/ Màj. le 29 juin 2017 à 17:30
Joakim Gorret jamais aussi à l'aise que dans l'eau.

Manuel, artiste et sportif: Joakim Gorret a toujours aimé explorer les pistes les plus multiples, les plus déroutantes aussi . Son CFC de réparateur auto en poche, le Martignerain aujourd’hui installé à Charrat se découvre une vraie passion pour la menuiserie et l’ébénisterie.

Huit ans d’expérience dans le bois vont amener celui qui se fait appeler Joko à mettre ses compétences au service de prestations artistiques. Il signe ainsi la scénographie et la partie technique de spectacle de danse contemporaine tout en s’ouvrant d’autres horizons.

Formation jeunesse et sports, stage de clown, initiation à la grimpe, à la voltige ou encore à la danse escalade : aucun domaine ne lui résiste. « Mais c’est vraiment dans l’eau que je me sens le plus à l’aise », confesse celui qui va s’essayer à la plongée bouteille avant de découvrir – un peu par hasard et au détour d’un séjour en Thaïlande – l’apnée, «le sport de ma vie.»

Une passion dévorante que le trentenaire aimerait faire partager à un maximum de Valaisans. Après avoir collaboré avec plusieurs structures de formation en Suisse et à l’étranger, Joko a ainsi décidé d’ouvrir sa propre école. «Je suis persuadé que l’apnée peut beaucoup apporter en terme d’équilibre, de maîtrise de soi et de plaisir pur à de nombreux Valaisans ».

Quatre bonnes raisons de vous jeter à l'eau avec lui

1. Un sport à la portée de tous

«Il n’y a pas de limite physique ou physiologique à la pratique de l’apnée», affirme celui qui a déjà formé une quarantaine d’adultes à s’éclater sous l’eau, « dont un asthmatique ». Titulaire de tous les diplômes d’instructeur nécessaire, Joakim Gorret peut même guider les premières plongées d’ados. «Les 14-18 ans ont cependant besoin d’un accord parental pour se jeter à l’eau. »

2. Le Valais, un terrain de jeu idéal

«Nul besoin d’aller voir ailleurs pour s’éclater sous l’eau sans bouteilles». Joko l’affirme: le Valais offre un terrain de jeu idéal à tout amateur d’apnée. «A commencer par le Rosel à Martigny où je programme les plongées en eau libre de premier niveau – entre 10 et 15 mètres - et où j’ai pu observer le fameux silure géant.» Joakim Gorert se propose ensuite d’emmener ses élèves du côté de Sierre puis aux Iles à Sion pour des descentes à 35 et 40 mètres. «J’aime aussi beaucoup plonger au pied de Chillon.»

3. Une sécurité maximale

Si dans la nature le risque zéro ne peut jamais être garanti, Joakim Gorret se fait un point d’honneur à toujours privilégier l’aspect sécuritaire de ses cours. «Toutes nos plongées se font le long d’une corde à laquelle l’élève est attaché. J’accompagne personnellement chaque élève pour pouvoir le rassurer ou l’aider en cas de petits pépins et me fait accompagner par une collaboratrice pour les plongées les plus profondes».

Joakim et son organisation fournissent aussi le matériel adéquat (masque, palmes, tuba, combinaison néoprène permettant d’éviter de se refroidir, ceinture et plombs).

4. Des progrès rapides

«Après moins d’une heure et demie de cours sur la terre ferme, n’importe quel élève peut retenir son souffle pendant près de deux minutes », garantit Joakim Gorret. Les progrès sous l’eau sont ensuite tout aussi spectaculaires. «Les exercices dont certains sont empruntés au yoga permettent de très vite calmer et contrôler sa respiration. Et cela vaut aussi et surtout pour les personnes habituellement sujettes au stress ou très nerveuses», assure Joko qui conseille aussi aux nouveaux apnéistes de rallier rapidement un club.

«Se préparer, se perfectionner et plonger en équipe est bien plus motivant », explique celui qui a présidé le club d’apnée du Valais «Happy Fins» durant trois ans avant de passer la main le mois dernier à son ancienne vice-présidente, Amalia Dini.

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