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«Aidez-nous à sauver ces animaux!»

Ouvert cet été pour héberger des bêtes maltraitées ou vouées à la boucherie, le refuge «La Bouche qui rit» est déjà menacé de fermeture. Faute de soutiens financiers suffisants.

20 nov. 2015, 23:53 / Màj. le 21 nov. 2015 à 00:01
Martigny, le 16 novembre 2015



La bouche qui rit, refuge pour chevaux.

De gauche a droite: Wendy Privet, Nicolas Flamarion et Sandra Flamarion



Sacha Bittel/Le Nouvelliste

A peine ouvert à Martigny, le refuge «La Bouche qui rit» craint déjà pour sa survie. «Les caisses sont vides et les factures commencent à s’entasser», reconnaît Nicolas Flamarion. Cet amoureux de la nature et des bêtes a créé avec sa famille «un espace de vie unique» pour pouvoir sauver toutes sortes d’animaux maltraités ou destinés à la boucherie. «Jeune, je devais passer devant un abattoir pour me rendre de Bramois au collège des Creusets. Un jour, j’y ai vu un cheval dans une benne les quatre fers en l’air et je me suis alors juré qu’un jour je ferais quelque chose pour éviter ça…»

Premier sauvetage réussi dans le Jura

L’occasion de réagir arrivera bien plus tard. «C’était l’automne passé. Avec ma femme Sandra, nous avons vu sur l’internet que trois poulains étaient à vendre pour la boucherie dans le Jura. On a foncé.» Le 14 novembre...

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