Stéphane Maret, vous avez commencé votre travail de directeur des FMV en pleine pandémie il y a une année. Cela doit être un peu bizarre, non?
Oui, surtout qu’une partie du travail d’un directeur, c’est de toucher des mains et je n’ai encore touché aucune main. (Sourire.) C’est donc très compliqué en termes de visibilité et de contacts humains, car on résout beaucoup de problèmes dans les moments informels. Mais il faut aussi reconnaître une certaine efficacité dans l’organisation à distance.
Vous perdez beaucoup moins de temps?
Ce printemps, j’ai vécu une journée extraordinaire où j’ai pu participer depuis chez moi à une séance à Olten, puis à Lausanne, à Sion, à Genève avant de revenir à Lausanne, puis de nouveau à Sion. Et ça marche. Aux FMV, mon prédécesseur avait introduit le télétravail en janvier 2020. La crise sanitaire aura été un coup d’accélérateur formidable à ce niveau.
Et...