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Une question allume un brasier

La commune se fâche avec l’association Chablair. Désormais, elle ne prendra plus en compte les remarques de cette dernière.

29 déc. 2015, 23:45
/ Màj. le 30 déc. 2015 à 00:01
Collombey, le 14 avril 2015



Arrêt de la raffinerie Tamoil.



Sacha Bittel/Le Nouvelliste

L’Exécutif de la commune de Collombey-Muraz est fâché avec l’association Chablair. A tel point qu’il a choisi de ne plus répondre à ses courriers que par de polis accusés de réception. En cause, l’attitude de l’entité régionale dans le dossier de la raffinerie de Collombey-le-Grand. «Le 15 décembre, nous avons reçu un courrier de Chablair (ndlr: sans connotation agressive) nous demandant pourquoi nous voulions obtenir des garanties financières pour le démantèlement des installations, explique le président de la commune, Yannick Buttet. L’association nous invitait à tout bonnement démolir la structure. Pourquoi ce courrier maintenant alors que la procédure a déjà été lancée depuis plusieurs mois? Ça n’a pas de sens.»

Rien contre la commune

Réponse du tac-au-tac, de la secrétaire de Chablair, Carole Morisod: «Nous demandons simplement qu’un délai clair et crédible soit fixé pour faire avancer ce dossier et que l’alinéa 3 de l’article 52b du nouveau décret (Lex...

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