«La concurrence n’est pas si féroce. Nous ne sommes pas dans la configuration de Monthey!» Si personne ne conteste la primauté de Yannick Buttet à la présidence de Collombey-Muraz, le poste de numéro deux de l’exécutif attise les convoitises des minoritaires. En place depuis quatre ans, Olivier Turin (PS) enchaîne sur sa déclaration liminaire: «Cette fonction, il ne s’agit pas de la briguer pour l’argent. Par rapport à celle de municipal, elle représente juste 3000 francs de plus. Si je souhaite continuer à l’occuper, c’est qu’elle amène une vraie plus-value en termes de connaissances.»
A trois sur la ligne de départ
Côté UDC, Mikaël Vieux avoue n’avoir jamais caché son intérêt: «J’ai toujours été quelqu’un qui aime bien les responsabilités et les défis. A mon sens, cette position génère des responsabilités intéressantes.» Et de confirmer que durant la dernière période, il n’a guère fait...