Qu’est-ce qui vous a motivés à vous lancer, l’an dernier, dans cette grande aventure?
Jérôme Perrin: Tout d’abord, la passion de la musique et l’envie de vivre un festival depuis l’autre côté de la barrière et de voir ce que cela pouvait nous apporter. Clairement, nous ne pensions pas que créer un tel événement allait être aussi prenant. Ça a été deux ans de travail intensif pour toute l’équipe pour mettre au point notre projet. On peut dire que ça a été plutôt intense.
Quel budget requiert l’organisation d’un tel festival?
Ludovic Biselx: La première année, nous avions un budget approximatif et à un mois de l’événement, tout est devenu un peu plus clair. Nous étions, l’année passée, sur un budget de 200 000 francs mais nous avons vite compris que, cette année, nous devions monter à 400 000 francs pour être en adéquation avec toutes les charges que nous...