PDG du groupe Looping propriétaire d’Aquaparc, Laurent Bruloy examine le matériel avec attention. Celui-ci consiste en un masque dont les utilisateurs du toboggan Houla-Hoop peuvent se munir. «Et se retrouver ainsi plongés dans un monde virtuel lors de leur descente qui durera environ 40 secondes.»
Le principe, présenté comme une nouveauté mondiale, est la synthèse de deux défis technologiques: l’étanchéité du matériel qui doit s’adapter aux visages des utilisateurs et la coordination temporelle entre leur vision et l’endroit précis où ils se trouvent dans l’attraction.
La société allemande Polymorphe – spécialiste de la réalité augmentée – a proposé une solution basée sur un système d’ondes radio de géolocalisation. Avec les images diffusées à 360 degrés, le visiteur est immergé en temps réel dans l’univers créé. La vitesse du film est synchronisée avec celle du porteur le casque… Décor choisi, celui de l’Atlantide. «Il y a trois mois...