L’UDC aura donc bu le calice jusqu’à la lie en matière d’élection cantonale. Après avoir perdu son siège au gouvernement, la voilà avec le fraudeur présumé dans ses propres rangs, dont la compagne élue députée suppléante en mars a dû démissionner. «L’arroseur arrosé», «Tel est pris qui croyait prendre»… les titres ne manquent pas pour cette histoire rocambolesque qui met le parti dans une posture délicate, même s’il dénonce aujourd’hui avec vigueur ces agissements.
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Mais l’UDC doit enfin comprendre que trop de provocation nuit. En tout cas en Valais. Oskar Freysinger a voulu décrocher la majorité au gouvernement alors que l’UDC pèse 20% de l’électorat. Cela a été pris comme une provocation par le citoyen et il en a été éjecté.
Dénoncer une fraude électorale est un droit et n’est pas en soi une...