Je ne sais pas vous, personnellement j’adore les fins d’année. Il y règne une certaine frénésie. On voit enfin le bout (quelle qu’en soit la signification). On pressent le relâchement à venir. Le 31 est là, à portée de coupe. Alors, on se presse de régler les dernières affaires, on finalise les plannings, on boucle les budgets, on planifie les projets.
Tout n’est jamais prêt
Tout doit être prêt pour la nouvelle année. Mais tout n’est jamais prêt. Parce que le temps s’accélère. Parce que la trêve de Noël, comme celle pascale ou estivale, n’existe plus depuis l’avènement du tout-tout-de-suite. Peu importe. On continue de s’agiter pour être prêt à basculer dans la nouvelle année. On se projette, on fait des plans sur la comète, on se jure le meilleur, on conjure le mauvais sort, on abjure nos travers.
On s’est à peine arrêté
Tout va si vite. Trop vite....