Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Valais: nos professionnels oseront-ils le rosé pour assainir le marché?

Et si le développement de la filière du rosé aidait à assainir le marché du vin suisse, notamment en contribuant à diminuer les stocks de rouge? Les responsables de Changins et du centre expérimental de Provence ont profité d’Agrovina pour inciter les vignerons d’ici à franchir le pas.

24 janv. 2020, 18:00
Le Valais peut offrir une belle diversité de rosés. Dans les goûts et les couleurs.

«Y a-t-il des vignerons prêts à soutenir notre combat pour booster le rosé suisse?» Pascale Deneulin, du centre de Changins, a profité de la Journée suisse d’œnologie d’Agrovina 2020 pour lancer un inattendu appel du pied aux professionnels du pays.

Le président d’Agrovina, Patrice Walpen, le directeur de Changins, Conrad Briguet, et le directeur du centre mondial du rosé, Gilles Masson, ont trinqué à la santé du rosé valaisan. Sacha Bittel

La Haute école de viticulture et œnologie de Suisse romande est en effet convaincue que le développement de la dôle blanche et autre œil-de-perdrix peut contribuer à offrir un bon ballon d’air frais à nombre de caves suisses et valaisannes.

A lire aussi: Le rosé, star de l’été

Le rosé? Une future porte d’entrée au monde du vin

Un premier projet pilote mené conjointement par la cave Gilliard et les chercheurs de Changins atteste du beau potentiel de nos...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias