Les dernières cabines téléphoniques valaisannes seront déconnectées d’ici à la fin de cette semaine. Cette histoire prendra fin à Sion. Toutes ne seront cependant pas démantelées, une dizaine devraient avoir droit à une seconde vie. Elles pourraient être transformées en boîtes à livres, comme cela a déjà été le cas ailleurs en Suisse. Certaines régions ont préféré les recycler en point d’installation de défibrillateur ou encore en lieu pour écouter des histoires.
Alerte à la bombe, première au Châble et cabine martyrisée
De la première cabine posée en 1933 dans le canton à aujourd’hui, le réseau aura compté au maximum jusqu’à 900 installations. Un rapide coup d’œil aux archives du «Nouvelliste» met en lumière ces petits récits qui ont ponctué l’aventure valaisanne du téléphone public.
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En novembre 1965, la mise en service d’un premier...