Des chaufferettes et jets d’eau ont de nouveau fonctionné à plein régime durant la nuit de mercredi à jeudi en Valais. Ce nouvel épisode de gel a été moins problématique que le précédent.
Le vent a réduit l’impact des chaufferettes
C’est la nuit de mardi à mercredi qui aura été la plus douloureuse pour les abricotiers. «Il y a eu de la neige et du vent. Avec les chaufferettes, c’est comme lorsque l’on emploie un réchaud à fondue, le vent empêche la chaleur de monter et de protéger les arbres», explique Olivier Borgeat, directeur de l’Interprofession des fruits et légumes.
La nuit suivante, la lutte aura été un peu plus «simple» à mener. «Lorsqu’il fait très froid, sans vent, c’est plus facile de prendre des mesures.»
Le coteau de Salins protégé par des chaufferettes. © Michaël Briguet
La rive gauche plus concernée
«Sur le coteau en rive gauche, entre Salins...